Devenir chauffeur VTC BVTC : le guide complet pour se lancer dans la conduite pro
Travailler à son compte, choisir ses horaires, rouler dans une belle voiture, et encaisser ses courses depuis une appli : le métier de chauffeur VTC BVTC séduit de plus en plus. Que ce soit pour faire une reconversion, arrondir ses fins de mois, ou simplement tenter l’aventure entrepreneuriale, la conduite VTC attire. Mais concrètement, comment ça fonctionne ? Quelles sont les étapes à suivre pour devenir chauffeur VTC, et que propose exactement BVTC dans tout ça ? Voici un article clair et sans détours pour tout comprendre.
Chauffeur VTC BVTC : qu’est-ce que c’est concrètement ?
Avant de se lancer, petit rappel : VTC, ça veut dire Voiture de Transport avec Chauffeur. C’est ce qu’on retrouve sur les plateformes comme Uber, Bolt ou Heetch. On parle ici de transport de personnes à la demande, mais avec une réservation préalable, contrairement aux taxis.
BVTC, c’est une entreprise qui accompagne ceux qui veulent se lancer comme chauffeurs VTC, même sans expérience. En gros, elle propose des véhicules conformes, un encadrement administratif, des partenariats avec les plateformes, et parfois même la formation. Pas besoin de tout gérer seul.
Les prérequis pour devenir chauffeur VTC
Pas question de s’improviser VTC du jour au lendemain. Il y a quand même quelques conditions à remplir :
- Avoir au moins 21 ans
- Posséder un permis B depuis plus de 3 ans
- Passer une visite médicale chez un médecin agréé
- Avoir un casier judiciaire vierge (bulletin n°2)
- Parler un minimum français (et si possible un peu d’anglais)
Rien d’insurmontable, mais c’est important d’être en règle dès le départ.
Les étapes clés pour devenir chauffeur VTC BVTC

Étape 1 : Se former et passer l’examen VTC
La formation, c’est souvent la partie qui inquiète. Pourtant, elle est là pour aider à maîtriser les bases du métier : réglementation, gestion, sécurité, relation client, etc.
Comment ça se passe ?
La formation dure en général 70 heures et se fait dans un centre agréé. Elle peut se faire en présentiel ou en ligne. Ensuite, il faut passer l’examen VTC organisé par la Chambre des Métiers.
L’examen comporte 7 épreuves :
- Réglementation des transports
- Gestion d’entreprise
- Sécurité routière
- Développement commercial
- Compréhension du français
- Anglais de base
- Conduite professionnelle
Note importante : Il faut obtenir au moins 10/20 de moyenne pour valider.
Combien ça coûte ?
Compter entre 1 500 et 2 000 € selon le centre. Avec BVTC, il est parfois possible de bénéficier d’un accompagnement ou d’un financement, surtout si un contrat de collaboration est signé.
Étape 2 : Obtenir la carte professionnelle VTC
Une fois l’examen validé, direction la préfecture pour faire la demande de la carte pro VTC. Ce document est obligatoire pour exercer, même en partenariat avec une entreprise comme BVTC. À noter : La carte est valable 5 ans, et elle peut être retirée en cas de faute grave ou de non-respect des règles.
Étape 3 : Créer son statut et s’immatriculer
En tant que chauffeur VTC BVTC, avoir un statut légal est indispensable pour exercer. Le plus simple et le plus utilisé au départ, c’est le statut d’auto-entrepreneur. Il permet de démarrer rapidement, avec peu de charges et une comptabilité allégée. C’est une bonne option pour tester l’activité sans gros engagements. Mais attention aux plafonds de chiffre d’affaires. Une fois ces seuils atteints, il faudra envisager un autre statut.
Pour ceux qui veulent plus de souplesse ou envisagent de faire grandir leur activité, il est possible d’opter pour une SASU ou une EURL. Ces formes juridiques offrent une meilleure gestion fiscale et une séparation claire entre le pro et le perso. Elles permettent aussi de déduire plus facilement certaines charges liées à l’activité. En contrepartie, la gestion est un peu plus lourde qu’en auto-entreprise. Mais avec un bon accompagnement, ça reste tout à fait faisable.
Au-delà du statut, il y a quelques démarches incontournables : s’inscrire au Registre des VTC, ouvrir un compte bancaire pro, et prendre une assurance RC Pro Transport. Ces étapes sont obligatoires pour être en règle. La bonne nouvelle, c’est que BVTC accompagne ses chauffeurs à chaque étape. Pas besoin d’être expert en paperasse, l’essentiel est géré avec eux. Un vrai gain de temps et moins de stress pour se concentrer sur la route.
Étape 4 : Trouver le bon véhicule (ou le louer avec BVTC)
Le véhicule, c’est le cœur de l’activité pour un chauffeur VTC BVTC. Il doit respecter des critères précis pour être conforme à la réglementation. Il faut notamment qu’il ait entre 4 et 9 places, au moins 4 portes, et qu’il soit âgé de moins de 6 ans. L’entretien doit être irréprochable : propreté, révisions à jour, tout doit inspirer confiance au client. Et bien sûr, il faut une assurance adaptée au transport de personnes. Sans ça, l’activité n’est pas couverte légalement.
Beaucoup pensent qu’il faut acheter une voiture neuve à 30 000 € pour se lancer. Ce n’est pas le cas. La location longue durée (LLD) ou la location avec option d’achat (LOA) sont des alternatives pratiques. Elles permettent de démarrer avec un véhicule aux normes sans s’endetter lourdement. C’est aussi une bonne solution pour tester le métier sans trop s’engager. Et à la fin du contrat, on peut choisir de changer ou de garder le véhicule.
BVTC va plus loin en proposant des véhicules prêts à rouler, déjà assurés, équipés VTC et conformes à la législation. Cela évite de perdre du temps à chercher, négocier, ou faire les démarches soi-même. Tout est clé en main pour commencer rapidement et rouler l’esprit tranquille. C’est un vrai coup de pouce pour ceux qui veulent se concentrer sur leur activité sans se prendre la tête avec la logistique.
Pourquoi passer par BVTC ?

C’est là que BVTC entre vraiment en jeu. Plutôt que de faire toutes les démarches seul, cette société propose un pack clé en main pour se lancer rapidement et sans prise de tête.
Les avantages :
- Véhicule conforme, prêt à rouler
- Aide à la formation VTC
- Accompagnement pour l’inscription administrative
- Accès direct aux plateformes comme Uber ou Bolt
- Assistance technique, maintenance, remplacement de véhicule en cas de panne
C’est une solution idéale pour ceux qui veulent se concentrer sur leur métier, sans se noyer dans la paperasse.
Combien gagne un chauffeur VTC BVTC ?
La grande question : combien gagne un chauffeur VTC BVTC ? Faisant partie des métiers en c, la réponse dépend de plusieurs facteurs. Le temps de travail joue un rôle central : un chauffeur à temps plein n’aura pas les mêmes revenus qu’un autre en activité partielle. La ville aussi change la donne : rouler à Paris ou Lyon n’offre pas les mêmes opportunités qu’une petite ville. Et puis, il y a les horaires : bosser le week-end, la nuit ou aux heures de pointe peut faire grimper les gains.
Les revenus peuvent aussi être boostés par les pourboires, les primes de plateforme, ou les courses longues distances. En général, un chauffeur VTC BVTC peut viser entre 2 000 € et 3 000 € nets par mois, parfois plus. Mais ce chiffre ne tombe pas tout seul : il faut être organisé, bosseur, et connaître les bons créneaux pour rouler. Ceux qui maîtrisent bien leur planning peuvent tirer leur épingle du jeu.
Évidemment, il ne faut pas oublier les charges à déduire : location ou crédit du véhicule, carburant, entretien, assurance, frais de plateforme, etc. Ces dépenses peuvent représenter une bonne part du chiffre d’affaires. C’est pour ça qu’il est important de bien calculer ses coûts et d’optimiser ses trajets. Avec une bonne stratégie, le métier peut rester rentable et offrir une vraie liberté au quotidien.
En résumé : comment devenir chauffeur VTC BVTC ?
Voici un petit résumé des étapes :
- Remplir les conditions de base
- Suivre une formation VTC
- Passer l’examen et le réussir
- Obtenir la carte professionnelle VTC
- Créer son statut juridique
- Louer ou acheter un véhicule conforme
- Travailler via BVTC et les plateformes partenaires
Avec BVTC, tout est plus simple, surtout pour ceux qui veulent un vrai tremplin dans le métier sans se perdre dans les démarches.
Derniers conseils avant de se lancer
Avant de foncer tête baissée, il vaut mieux :
- Se renseigner sur les coûts cachés (péages, essence, assurances)
- Choisir les bonnes plages horaires pour maximiser les revenus
- Bien gérer son temps et sa fatigue
- Penser à la formation continue (pour évoluer ou se spécialiser)
Et surtout, ne pas hésiter à contacter BVTC directement pour poser toutes les questions. C’est un bon point de départ, notamment si on préfère être accompagné plutôt que de naviguer en solo.
Devenir chauffeur VTC BVTC, ce n’est pas juste prendre le volant : c’est un vrai projet pro qui demande un peu de préparation, un bon état d’esprit et les bons partenaires. Avec un accompagnement comme celui de BVTC, on peut se lancer plus vite, sans galérer sur les démarches ou l’administratif. Que ce soit pour une reconversion, un complément de revenu ou un vrai changement de cap, le métier reste accessible, flexible et potentiellement rentable. Il suffit de bien s’informer, de rester motivé, et de rouler dans la bonne direction.